Tous les hommes n’apparaissent pas à la fenêtre de chez Drouant de la même façon. Ce 4 novembre 2019, c’est le Toulousain Jean-Paul Dubois qui salue la foule des journalistes et du petit monde littéraire venue recueillir les premières paroles du Goncourt de l’année.
Ils auraient pu choisir de « s’exiler » dans la capitale, comme de nombreux artistes avant eux, mais ont préféré rester à Toulouse. « Un acte quasi militant », assument les deux frères rappeurs qui ont grandi dans le quartier des Minimes.